Le choix de la méthode est avant tout un choix vers la relation humain/chien et le bien-être.
Quel genre de relation ?
– l’obéissance pour l’obéissance ?
– le pouvoir de la soumission ?
– l’utilisation de la contrainte ?
OU
L’éducation pour son bien-être !
Pour accompagner votre chien à comprendre les règles humaines et lui apprendre en le rassurant afin de développer son épanouissement et le vôtre.
Prendre en compte leur spécificité unique pour les aider à prendre confiance en vous et confiance en leur capacité à faire face à leur environnement en vue d’y vivre sereinement.
Ne dit-on pas que le chien est le meilleur ami de l’homme. À quand l’homme ; meilleur ami du chien !
1. Le renforcement positif : Récompenser les bons comportements
Principe : Lorsque le chien associe une action à une récompense agréable, il sera motivé à reproduire ce comportement. Les récompenses peuvent inclure des friandises, des jouets ou des éloges.
2. Ignorer les comportements indésirables
Principe : Ne pas renforcer les comportements inappropriés (comme sauter pour attirer l’attention) en les ignorant jusqu’à ce que le chien adopte un comportement calme.
3. Le clicker training
Principe : Le clicker produit un son distinct (« clic ») pour marquer précisément le bon comportement, suivi d’une récompense. Cela aide le chien à comprendre rapidement ce qui est attendu.
4. Créer un environnement enrichissant
Principe : Fournir des activités mentales et physiques adaptées permet au chien de dépenser son énergie de manière positive et d’éviter les comportements destructeurs.
5. Utiliser des commandes courtes et claires
Principe : Les commandes doivent être simples, cohérentes et accompagnées d’un ton de voix encourageant pour éviter la confusion.
6. Socialisation positive
Principe : Exposer le chien à différentes personnes, animaux et environnements dès son plus jeune âge, de manière progressive et positive, renforce sa confiance et réduit les peurs.
En résumé, l’éducation positive repose sur l’encouragement, la patience et une communication bienveillante. Elle favorise une relation harmonieuse entre le chien et son propriétaire, tout en respectant les besoins et les émotions de l’animal.
1. Punition physique
- Pourquoi l’éviter ? Les coups, les secousses sur la laisse ou l’utilisation de colliers étrangleurs/électriques provoquent de la douleur et de la peur chez le chien. Cela peut briser la confiance qu’il a en vous, entraîner de l’agressivité ou des comportements défensifs, et compromettre la relation.
- Alternative : Favorisez le renforcement positif pour récompenser les bons comportements.
2. Crier ou hurler
- Pourquoi l’éviter ? Les cris peuvent effrayer le chien sans qu’il comprenne ce qu’il a mal fait. Cela peut le stresser et aggraver les comportements indésirables.
- Alternative : Utilisez un ton ferme mais calme pour donner des consignes claires.
3. Punir après coup
- Pourquoi l’éviter ? Un chien ne comprend pas qu’il est puni pour une action passée, même si c’était il y a seulement quelques minutes. Cela ne fait qu’induire de la confusion.
- Alternative : Réagissez immédiatement (dans les secondes qui suivent l’action) pour corriger un comportement ou utilisez des outils de gestion pour prévenir les incidents.
4. Manque de cohérence
- Pourquoi l’éviter ? Donner des consignes contradictoires ou être incohérent (par exemple, autoriser un comportement un jour et le refuser le lendemain) rend l’apprentissage difficile pour le chien.
- Alternative : Assurez-vous que tous les membres de la famille respectent les mêmes règles et utilisent les mêmes commandes.
5. Ignorer les signaux de stress du chien
- Pourquoi l’éviter ? Forcer un chien à affronter une situation qu’il trouve effrayante ou inconfortable peut le rendre encore plus réactif ou anxieux à l’avenir.
- Alternative : Apprenez à reconnaître les signaux de stress (halètement, queue basse, détournement du regard) et adaptez votre approche.
6. Isolement prolongé ou privation de contact
- Pourquoi l’éviter ? Les chiens sont des animaux sociaux. Les isoler pendant de longues périodes ou les priver de stimulation mentale peut entraîner des troubles comportementaux (dépression, destruction, aboiements excessifs).
- Alternative : Proposez des interactions régulières, des jeux, et des exercices physiques adaptés.
7. Utiliser des méthodes basées sur la domination
- Pourquoi l’éviter ? Les théories obsolètes de dominance (comme « montrer qui est le chef » en le plaquant au sol) peuvent générer de l’agressivité et endommager la relation avec votre chien.
- Alternative : Adoptez une approche basée sur la coopération et la compréhension des besoins du chien.
Parlons éducation.
Pendant des années, il était enseigné que le chien pouvait nous dominer et qu’il fallait le soumettre. Cela a favorisé des méthodes coercitives.
« C’est moi le maître. »
Conséquence : Les chiens obéissent par peur ou vont développer de l’agressivité.
Alors que le chien est un animal sociable en capacité de respecter les règles correctement enseignées avec bienveillance et répétition. Comme chez les enfants plus la règle est simple et cohérente plus elle sera simple à suivre et à intégrer.
Non à la dominance et à la coercition…Notre éducation se veut positive et bienveillante dans le partage et les respect des êtres.
« La violence est le dernier refuge de l’incompétence » Isaac Asimov
Appuyez, l’écraser, mettre le pied sur la laisse pour tirer la tête et le forcer à se coucher, donner des accoups sur la laisse, mettre des grands coups de laisse pour le ralentir…sont des méthodes à prescrire. Elles sont douloureuses et génèrent de la Peur. Elles entre dans la catégorie de l’éducation coercitive.
Il est nécessaire de travailler avec la motivation, et la psychologie de votre chien afin qu’il est une meilleure compréhension de vos attentes.
Soyez Guidant !
Votre chien n’est pas dans votre tête et ne parle pas l’humain. Enseignez lui avec douceur et bienveillance.
Ce n’est pas irrémédiable !
La laisse est un matériel éducatif qui vous relie vous à votre chien.
C’est votre positionnement qui va guider le chien.
Souplesse et douceur permette une meilleure compréhension.
Venez travaillez cette compréhension et votre positionnement avec nous.
Ah là là quand ils aboient !
L’aboiement se travaille mais il faut en comprendre les causes et il y en a plusieurs.
C’est là que l’éducateur canin fera la différence pour mieux vous guider et vous proposer l’approche la plus adaptée.
Il est vrai que le travail de rééducation, la réactivité particulièrement est sensible mais il nous faut travailler avec le réel.
Le réel c’est quoi ?
C’est le chien qui surgit, cette trottinette ou cet humain; c’est ça le réel ! Nous ne pouvons pas tout le temps être dans le contrôle ou la maîtrise.
On ne peut pas ignorer le réel mais on peut apprendre des techniques permettant à nous humains de mieux guider et sécuriser nos chiens: la vie étant pleine d’imprévus incontrôlables.
Le comportement canin de réactivité est simplement une réaction du chien face à un stimulus, tel qu’un humain, un congénère, une voiture, un vélo… Cette réaction est incontrôlée, et peut être de diverse nature : joie, excitation, stress, peur, colère, etc.
Ce n’est pas une fatalité ! Quelque soit leurs âges, c’est une des plus grosses demandes de travail en réeducation.
• Réactivités cogenères (entre chiens)
• Réactivités aux joggers
• Réactivités aux trottinettes
• Réactivités aux humains
Rappelez-vous quand vous croisez des humains avec des chiens réactifs que souvent ils font part de leur culpabilité, de l’impression de ne pas avoir su faire et pourtant c’est un chien gentil. J’ai souvent rencontré des chiens en mal-être et jamais de chiens méchants.
Psychologie humaine et canine : des fondements émotionnels communs
L’être humain, tout comme le chien, possède un système émotionnel complexe, influencé par des facteurs innés (tempérament) et acquis (expériences de vie, environnement, interactions sociales). Ce parallèle est fondamental : un trouble du comportement chez un chien peut avoir des racines similaires à celles d’un trouble psychique chez l’humain — anxiété, traumatisme, troubles de l’attachement, surstimulation ou frustration chronique.
Prenons l’exemple de l’attachement : chez l’enfant comme chez le chiot, la qualité du lien avec la figure d’attachement influence profondément le développement émotionnel. Un chien séparé trop tôt de sa mère, ou un chiot élevé sans repères stables, peut développer des troubles comparables à ceux observés chez un enfant en insécurité affective : hyperdépendance, peur de l’abandon ou comportements compulsifs.
L’hétogramme canin : une lecture scientifique du tempérament, à l’image des profils psychologiques humains
L’hétogramme canin, outil d’analyse comportementale, peut être rapproché des typologies de la personnalité utilisées en psychologie humaine (comme les Big Five ou les profils MBTI). Il évalue des dimensions fondamentales telles que :
La sociabilité (comme l’extraversion humaine)
L’attachement (relié à la stabilité affective)
La sensibilité sensorielle (comparable à l’hypersensibilité humaine)
La réactivité émotionnelle (liée à l’impulsivité ou à la régulation émotionnelle)
L’inhibition (proche de la timidité ou de l’anxiété sociale)
Ainsi, un chien présentant un haut niveau d’inhibition et de réactivité émotionnelle devra être accompagné différemment d’un chien plus stable ou explorateur — tout comme un thérapeute humain adapte son approche au profil psychologique de son patient.
Vers une approche empathique et individualisée
La psychologie canine, comme la psychologie humaine, ne vise pas à « normaliser » les individus, mais à leur permettre de mieux vivre avec eux-mêmes et avec leur environnement. L’objectif n’est pas de faire d’un chien un être obéissant et silencieux, mais de l’aider à exprimer ses besoins de manière adaptée, à gérer ses émotions et à se sentir en sécurité.
Dans cette démarche, l’éducateur canin comportementaliste devient un médiateur, un traducteur entre l’humain et le chien.
Déconstruire l’incompréhension humaine
Parmi les comportements canins qui génèrent le plus de malentendus et de réactions inappropriées de la part des humains, le grognement figure en tête. Il est souvent interprété comme une agression imminente, une provocation ou une tentative de domination. Pourtant, dans le langage du chien, le grognement est un message préventif : une alerte, une parole importante — et souvent la dernière étape avant une escalade si l’appel n’est pas entendu.
1. Dans la tête de l’humain : le poids de la peur et de la méconnaissance
Le grognement éveille chez l’humain une réaction archaïque : la peur. Il évoque un danger, un risque d’attaque, et réactive une réponse émotionnelle intense. De plus, socialement, on a appris que « grognement = chien méchant », ce qui conduit à des réactions automatiques : crier, punir, isoler, voire frapper. Ces réactions aggravent la situation, car elles s’attaquent non pas à la cause, mais à l’expression.
En psychologie humaine, cela reviendrait à punir un enfant qui dit « j’ai peur » ou « je me sens envahi », simplement parce qu’il l’a exprimé de manière vive. Ce réflexe de censure émotionnelle est très répandu, mais totalement contre-productif.
2. Dans la tête du chien : une tentative d’éviter le conflit
Le chien, lui, ne grogne pas contre son humain. Il grogne pour exprimer un inconfort, une gêne, une peur, une douleur ou un besoin de distance. C’est un signal d’avertissement :
« Stop, je suis à la limite de mes capacités émotionnelles. Je te préviens, je suis mal à l’aise. »
Ce comportement relève d’une logique de communication non violente. C’est même un signe de maturité sociale : le chien qui grogne cherche à éviter de mordre, non à mordre. Il espère être entendu avant que l’émotion ne le dépasse.
3. Le danger de faire taire : grogner est un droit émotionnel
L’une des pires erreurs consiste à punir un chien parce qu’il a grogné. Cela lui apprend que ce signal de prévention est inacceptable, avec deux conséquences potentiellement graves :
Le chien n’osera plus grogner et passera directement à la morsure, ses autres moyens de communication ayant été ignorés ou sanctionnés.
Il développera de la méfiance, voire de la peur, envers l’humain, qu’il percevra comme incohérent, dangereux ou imprévisible.
En psychiatrie canine, on parle alors de rupture du lien de confiance, une situation qui peut engendrer une instabilité émotionnelle et, parfois, des troubles plus profonds.
4. Traduire le grognement pour mieux y répondre
Face à un chien qui grogne, la première chose à faire est de ne pas réagir sur le plan émotionnel, mais de s’interroger :
« Qu’est-ce qu’il essaie de me dire ? »
Questions utiles à se poser :
Est-il surpris ou effrayé ? (bruit, contact inattendu)
Est-il en douleur ? (zone sensible, pathologie)
Protège-t-il une ressource ? (nourriture, jouet, espace)
A-t-il déjà été puni pour avoir grogné ?
Ai-je respecté ses signaux d’alerte précédents ? (détournement du regard, raidissement, figement…)
Le grognement ne doit pas être corrigé, mais écouté. C’est un indicateur précieux pour ajuster notre comportement, notre distance, notre posture ou notre demande.
5. Le rôle de l’éducateur : restaurer la communication et la sécurité
Dans mon travail, je réhabilite souvent le grognement comme un signal sain, à ne pas diaboliser mais à recontextualiser. L’accompagnement consiste à :
Redonner au chien la permission de s’exprimer sans crainte.
Aider l’humain à distinguer un grognement d’avertissement d’un comportement agressif incontrôlé.
Travailler sur la cause sous-jacente : stress, douleur, mauvaise socialisation, surcharge émotionnelle.
Restaurer une relation de confiance, où le chien est entendu et compris.
Conclusion : grogner, c’est parler
Le grognement n’est pas un danger à faire taire. C’est une émotion à écouter, un message à décoder, une invitation à ajuster notre posture d’humain.
Dans une relation saine, chaque individu a le droit de dire « non », même un chien. En apprenant à entendre ce « non », on évite bien des blessures — physiques, émotionnelles et relationnelles.
Le deuil d’un chien : traverser une épreuve émotionnelle
La perte d’un chien peut être une épreuve émotionnelle très difficile pour de nombreuses personnes. Les chiens occupent une place centrale dans la vie de leurs propriétaires, devenant de véritables membres de la famille. Lorsque le chien décède, les émotions ressenties peuvent être intenses : tristesse, culpabilité, colère et parfois même honte, surtout face à des commentaires tels que « ce n’était qu’un animal ».
Les émotions vécues lors du deuil d’un chien
Tristesse et chagrin : La perte d’un chien peut engendrer un profond sentiment de tristesse. Les propriétaires peuvent se sentir seuls, comme si une partie d’eux-mêmes était partie avec l’animal. L’absence de leur compagnon crée un vide difficile à combler.
Culpabilité : Certaines personnes se sentent coupables, se demandant si elles ont fait tout ce qu’elles pouvaient pour leur chien. La culpabilité peut être encore plus forte si l’animal a souffert ou est décédé après une longue maladie.
Colère : La colère peut se diriger contre la maladie, la vieillesse ou contre soi-même pour n’avoir pu empêcher la perte. Elle peut aussi se tourner vers les autres, s’ils ne comprennent pas l’intensité du chagrin.
Solitude : Les personnes ayant partagé une relation étroite avec leur chien se sentent soudainement seules après sa disparition. Les moments quotidiens partagés, promenades ou simples présences réconfortantes, accentuent le sentiment de vide.
Surmonter le deuil avec bienveillance
Accepter les émotions : Il est essentiel de ne pas minimiser ce que l’on ressent. La tristesse, la colère ou la culpabilité sont des émotions normales à traverser pleinement. Pleurer, se sentir triste ou en colère est naturel et fait partie du processus.
Se donner du temps : Le deuil prend du temps et ne suit pas de règles précises. Il n’y a pas de « bonne » manière de le vivre, et chaque étape doit être traversée à son propre rythme. Le temps peut apaiser la douleur sans faire oublier l’animal.
Se soutenir auprès des autres : Partager son chagrin avec des amis ou des proches peut apporter un grand réconfort. Parler de l’animal et des bons souvenirs peut soulager la peine.
Honorer la mémoire de l’animal : Créer un rituel de mémoire, comme un album photo, une boîte à souvenirs ou planter un arbre, permet de symboliser la fin de la relation tout en conservant la mémoire de l’animal.
Prendre soin de soi : Le deuil peut affecter la santé physique et mentale. Manger, dormir et faire de l’exercice régulièrement, même si cela est difficile, est essentiel. Permettre des moments de répit ou d’activités réconfortantes aide également à traverser cette période.
Chercher de l’aide professionnelle si nécessaire : Si la douleur devient trop lourde ou interfère avec la vie quotidienne, consulter un professionnel du deuil ou un thérapeute peut être utile. Les groupes de soutien pour propriétaires d’animaux en deuil peuvent également apporter un réconfort précieux.
Être bienveillant envers soi-même : Il est important de ne pas se juger pour la douleur ressentie. Reconnaître qu’il est normal de pleurer et que l’on a perdu un être vivant ayant une place importante dans sa vie permet de progresser dans le processus de deuil.
Conclusion
Le deuil d’un chien est une expérience douloureuse et intime, mais avec de la bienveillance envers soi-même, du temps et un soutien adapté, il est possible de trouver la paix après la perte. Le lien que vous avez partagé avec votre chien était précieux et cet amour continue d’exister dans vos souvenirs, restant une part de vous à jamais.
La domestication de nos chiens
Effets de la domestication sur la psychologie canine
La domestication a considérablement accru la sensibilité émotionnelle du chien. Cette hypersensibilité nécessite un cadre stable et bienveillant pour permettre au chien de se développer harmonieusement. En l’absence d’un environnement adéquat, des troubles anxieux ou agressifs peuvent apparaître.
L’humain joue un rôle fondamental dans l’accompagnement du chien vers un équilibre psychique, notamment grâce à une éducation positive et à une gestion adaptée du stress.
La domestication et l’environnement urbain
L’adaptation des chiens à la vie urbaine illustre l’impact combiné de la domestication et de l’environnement moderne. Dans les villes, les chiens sont confrontés à des stimuli variés et souvent stressants (bruits, circulation, interactions sociales multiples). Une gestion attentive et respectueuse de leur bien-être émotionnel est donc essentielle.
La domestication : un compagnonnage millénaire
Le chien est le premier animal domestiqué par l’homme, il y a environ 15 000 à 33 000 ans. Ce processus d’auto-domestication a permis au loup ancestral de développer des comportements sociaux adaptés à la vie humaine.
Le chien est ainsi devenu un mammifère hypersocial, capable de décoder les signaux humains et de coopérer étroitement avec l’homme. Des chercheurs, dont le Dr Ádám Miklósi, ont démontré que cette domestication a profondément modifié la morphologie, mais aussi la cognition du chien, qui perçoit et répond à des signaux subtils (regard, intonation) mieux que tout autre animal.
Exemple : Le contact visuel partagé entre chien et humain favorise la libération d’ocytocine, hormone liée au lien affectif.
Pourquoi stimuler mentalement votre chien ? 🧠
Stimuler l’esprit de votre chien est tout aussi important que de l’exercer physiquement ! Une bonne stimulation mentale permet de :
1. 🔄 Réduire les comportements indésirables provoqués par l’ennui. En offrant des jeux cognitifs, vous l’aidez à se concentrer et à canaliser son énergie de manière positive.
2. 💡 Améliorer l’apprentissage : Les jeux de réflexion ou les jeux de recherche renforcent la capacité de votre chien à résoudre des problèmes et à apprendre plus rapidement.
3. 🐶 Renforcer le lien : Passer du temps ensemble dans des activités de stimulation mentale crée une complicité forte et renforce la relation que vous partagez avec votre compagnon.
4. 🌟 Promouvoir son bien-être général : Un esprit actif est synonyme de bonheur et de santé. Un chien mentalement stimulé est plus épanoui et équilibré.
Alors, n’attendez plus ! Offrez à votre chien des jeux variés pour nourrir son esprit tout en vous amusant ensemble !
Dangers alimentaires :
Certaines fleurs et plantes printanières sont toxiques pour les chiens : jonquilles, tulipes, perce-neige, muguet, azalées. L’ingestion peut provoquer vomissements, diarrhée ou troubles cardiaques.
Restes de jardin ou compost non sécurisés : éviter que le chien ne mange des déchets organiques ou engrais.
Dangers naturels et environnementaux :
Pesticides et herbicides : protéger le chien des zones traitées.
Bourgeons et jeunes pousses : certaines sont toxiques ou irritantes pour le tube digestif.
Parasites externes : tiques, puces et moustiques réapparaissent au printemps. L’utilisation de protections adaptées est essentielle.
Conseils :
Surveiller le chien dans les jardins et parcs fleuris.
Maintenir un traitement antiparasitaire à jour.
Hydrater régulièrement et éviter les expositions prolongées après des efforts physiques.
Dangers liés à la chaleur :
Coup de chaleur : éviter les promenades aux heures les plus chaudes, ne jamais laisser un chien dans une voiture.
Brûlures des coussinets sur l’asphalte chaud.
Déshydratation rapide.
Dangers alimentaires :
Restes de barbecue : os cuits, viandes grasses ou assaisonnées peuvent provoquer occlusions, diarrhées ou pancréatite.
Fruits à noyau (cerises, abricots) ou raisin : toxiques en grande quantité.
Dangers naturels et environnementaux :
Nids de guêpes, méduses ou piqûres d’insectes.
Eau stagnante : risques de bactéries, leptospirose ou parasites.
Intoxications par produits de jardin ou algues bleues en bord de lac.
Conseils :
Promenades tôt le matin ou en soirée.
Toujours laisser une source d’eau fraîche accessible.
Vérifier les lieux de baignade et éviter les zones douteuses.
Dangers alimentaires :
Champignons sauvages : certains peuvent être mortels.
Restes de fruits tombés (pommes, noix vertes) : toxiques ou difficiles à digérer.
Dangers naturels et environnementaux :
Feuilles mortes et sols glissants : risque de glissade ou d’ingestion accidentelle.
Parasites : tiques encore actives, puces persistantes.
Champignons et baies sauvages : vérifier que le chien n’en mange pas.
Conseils :
Surveiller la consommation de champignons et baies dans les promenades.
Maintenir les traitements antiparasitaires.
Adapter l’alimentation pour compenser l’activité physique parfois réduite.
Dangers liés au froid :
Hypothermie et engelures : chiens à poils courts ou âgés particulièrement vulnérables.
Glace et neige : risques de coupures ou ingestion de produits chimiques (sel de déneigement, antigel).
Dangers alimentaires :
Chocolat et produits sucrés présents en périodes de fêtes : toxiques pour les chiens.
Os de poulet ou de dinde : attention aux fractures ou occlusions digestives.
Dangers naturels et environnementaux :
Antigel et liquides de dégivrage : très toxiques, même en petites quantités.
Sol glissant : chutes et blessures possibles.
Moins de lumière : risque de perdre le chien lors de promenades peu visibles.
Conseils :
Habiller les chiens sensibles au froid avec manteaux ou protections.
Limiter le contact avec le sel et l’antigel, laver les pattes après chaque promenade.
Adapter les promenades aux heures les plus lumineuses et sécurisées.
Conseils généraux toute l’année
Toujours fournir de l’eau fraîche et propre.
Éviter tout aliment toxique (chocolat, raisins, oignons, os cuits).
Vérifier régulièrement l’état du pelage, des yeux, des oreilles et des coussinets.
Maintenir les vaccinations et traitements antiparasitaires à jour.
Surveiller les comportements inhabituels et consulter un vétérinaire en cas de doute.
Lorsque les températures baissent, nos compagnons à quatre pattes ne ressentent pas tous le froid de la même manière.
Les petits chiens (moins de 10 kg) et ceux à poils courts sont particulièrement sensibles : dès 5 °C, ils peuvent commencer à avoir froid, et en dessous de 0 °C, cela devient vite inconfortable, voire dangereux.
Les chiens de taille moyenne (11 à 25 kg) supportent un peu mieux le froid, mais eux aussi peuvent souffrir quand les températures descendent sous zéro.
Quant aux grands chiens, même s’ils résistent davantage, ils ne sont pas invincibles : en dessous de -10 °C, le risque d’hypothermie ou d’engelures existe.
💡 Un manteau pour chien n’est pas un accessoire ridicule !
C’est une vraie protection, surtout pour les petits chiens, les chiots, les chiens âgés ou malades. Il permet de garder la chaleur corporelle et d’éviter des problèmes de santé.
🚶♂️ Nos conseils :
Limite la durée des promenades par temps très froid.
Évite les zones mouillées (neige fondue, flaques gelées).
Essuie bien ton chien après la sortie, surtout les pattes.
Surveille tout signe d’inconfort (tremblements, démarche raide, refus d’avancer).
Protéger ton chien du froid, c’est lui assurer confort et sécurité tout l’hiver ❄️❤️
